Montréal, le 3 octobre 2016 – Dix ans après les défusions municipales, quels constats peut-on tirer de cette réforme imposée par le gouvernement du Québec? La création d’agglomérations a-t-elle ou non été bénéfique pour les villes reconstituées? Certaines s’en sortent-elles mieux que d’autres? Pour répondre à ces questions, le Centre sur la productivité et la prospérité (CPP) de HEC Montréal propose aujourd’hui une analyse détaillée intitulée Les défusions municipales, 10 ans plus tard – État des faits. « Sans être un phénomène purement métropolitain, les défusions ont surtout touché les grands centres urbains. C’est pourquoi nous avons centré notre analyse sur les municipalités reconstituées dans les agglomérations de Montréal, Québec et Longueuil, précise Robert Gagné, directeur du CPP. Nous cherchions autant à mesurer l’impact que le processus de fusion-défusion a eu sur leurs dépenses qu’à mieux comprendre les répercussions liées au mode de gouvernance instauré depuis les défusions survenues en 2006. »

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