Montréal, le 25 janvier 2016 – Contrairement à ce qu’il prétend, le gouvernement du Québec ne semble pas faire de l’éducation une véritable priorité. Depuis le début des années 2000, la croissance des dépenses réelles par habitant en santé et services sociaux a été cinq fois plus rapide que celle des dépenses en éducation. Résultat : s’il souhaite ramener ses dépenses en éducation à un niveau similaire à la moyenne canadienne, le gouvernement du Québec devra y injecter 1,5 milliard de dollars supplémentaires. Ce constat pour le moins préoccupant a été révélé dans le rapport Productivité et prospérité au Québec – Bilan 2015 dévoilé aujourd’hui par le Centre sur la productivité et la prospérité (CPP) de HEC Montréal.

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