Montréal, le 25 janvier 2016 – En dépit d’un important soutien financier octroyé depuis la fin des années 90, la performance des entreprises québécoises est aujourd’hui loin d’être satisfaisante : la croissance de la productivité demeure faible, l’économie peine à créer des emplois, les investissements privés demeurent insuffisants et la production croît plus lentement que dans le reste du Canada. Dans ces circonstances, le gouvernement devrait revoir l’équilibre qui régit le fardeau fiscal des entreprises et l’aide qu’il leur accorde s’il souhaite réellement appuyer la croissance de son économie. Voilà les principaux constats qui se dégagent du rapport Productivité et prospérité au Québec – Bilan 2015 dévoilé aujourd’hui par le Centre sur la productivité et la prospérité (CPP) de HEC Montréal.

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